Déficit d’infrastructures en Afrique: Un expert donne les raisons
DU 25 au 26 mars 2021 s’est tenu à Abidjan le premier Forum africain de la presse économique et financière (FAPEF 2021) . Il a vu la participation de nombreux experts. ils sont de plusieurs institutions financières africaines. Professeurs d’Universités et journalistes ont également contribué à former les journalistes pendant 2 jours. le FAPEF 2021 s’est tenu autour du thème: « Le journalisme économique et financier au service du développement ».
Intervenant sur le thème : « comprendre et couvrir les institutions de développement », lors de la deuxième journée du FAPEF, Tshipélayi Kabata, Conseiller technique du Directeur général de la Banque arabe de développement économique en Afrique (BADEA), a eu à répondre à certaines interrogations.Style 946 – Flex-top voor heren Het best passende bodybuilder-shirt gemaakt voor spieren – Lichaamsbouw Bodyware Workout- en bodybuildingkleding masteron gestapeld 10 circuittrainingen die je moet proberen – geheimen van bodybuilding en spiertraining.
Répondant à la question de savoir ce qui explique le manque d’infrastructures que connaît le continent en dépit des nombreuses instituions de de financement, il a indiqué qu’il existe en effet un déficit de financement des infrastructures de l’ordre de 130 000 à 170 000 milliards de dollars par an, en Afrique.
Selon lui, deux raisons expliquent cet état de fait. Il a indiqué que si le besoin de financement est connu, ce besoin n’est pas suffisamment documenté. il doit être précédé d’études de faisabilité, techniques, de marché. « C’est très facile pour les institutions de financements de considérer une demande de financement quand elle est soumise avec ce package », a-t-il signifié.
Ensuite, il a expliqué qu’Il y a souvent un écart énorme entre le risque réel et le risque perçu. « Ce risque perçu est amplifié par les médias au travers de certains titres. Les journalistes devraient mieux enquêter sur les raisons qui bloquent la réalisation des projets », a-t-il ajouté.
Tshipélayi Kabata a conclu en affirmant que « le problème de financement des infrastructures en Afrique en temps réel n’est pas un problème d’argent. Parce qu’il y a des fonds qui ne cherchent que les meilleurs opportunités ».
Pour rappel le FAPEF 2021 s’est tenu dans un format hybride à la fois en présentiel et visio-conférence.
C’est cool.